Informations générales
Titre complet
Geneviève de Brabant, par P. Duputel
Date de publication
1805
Lieu de publication
Maison d'édition
Chatel, libraire, rue de la Verrerie, en face de celle des Coquilles
Lenormant, imprimeur-libraire, rue des Prêtres Saint-Germain-l’Auxerrois, n°42 vis-à-vis l’église
Pillot frères, libraires, au Pont-Neuf, n°5
Debray, libraire, Palais du Tribunat, galerie de bois, n°235
Adresse éditeur
Chatel, libraire, rue de la Verrerie, en face de celle des Coquilles
Lenormant, imprimeur-libraire, rue des Prêtres-St.-Germain-l’Auxerrois n°42
Pillot aîné, libraire, sur le Pont-Neuf, n°5 et quai Malaquais, n°7, près le ministère de la police générale
A. G. Debray, libraire, rue Saint-Honoré, Barrière des Sergens
Description matérielle
book.field_book__formats.label
in-8
Nombre de volumes
1
Contenu
Illustré
Oui
Nombre d’illustrations
1
Technique d’illustration
Eau-forte
Musique
Oui
Epigraphe
Inconnu
Mots-clés, résumé, genre, etc.
Notices associées
Notices associées (première édition, préquelle, suite, autres volumes parus une autre année, autres traductions)
1805
Recensions
Journal typographique et bibliographique, 8, xxv, p. 194-195 : "Les vertus et les infortunes de l’illustre Geneviève de Brabant ne sont guère connues que par tradition
car la seule histoire détaillée qui en existe, justement confondue avec tous ces contes ridicules qui forment ce qu’on appelle la bibliothèque bleue, ne trouve plus depuis long-temps de lecteurs. L’ouvrage que nous annonçons, quoique sur un sujet qui semble d’abord connu, est donc en quelque sorte absolument nouveau, et quand il ne le seroit pas, l’auteur a su le rendre tel, par les nombreux épisodes qu’il a eu l’art de lier à l’action principale, et les heureux changemens qu’il ya faits pour augmenter l’intérêt qu’elle inspire déjà si puissament par elle-même. Il a en outre employé au récit des malheurs de son héroïne une prose poétique qui fait que cette production, sans mériter tout-à-fait d’être placée dans la classe des poëmes, sort du moins de celle de simples romans
et à l’exemple de l’auteur d’Estelle et de Gonsalve, il a inséré de distance en distance, dans les six livres qui la composent, plusieurs romances et autres morceaux de poésie destinés à être mis en chant, qui y répandent une agréable variété
mais le plus bel éloge qu’on puisse faire de ce livre, c’est qu’il contient une morale pure et des principes de vertu qui doivent, sans contredit, le faire ranger dans le petit nombre de ceux dont on peut dire : La Mère en permettra la lecture à sa fille".