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Panorama du roman français, 1801-1830

Informations générales

Titre complet
Eliezer et Nephtaly, poëme traduit de l’hébreu ; suivi d’un dialogue entre deux chiens ; nouvelle imitée de Cervantès ; ouvrages posthumes de M. de Florian
Date de publication
1803
Lieu de publication
Maison d'édition
Adresse éditeur
Librairie Economique rue de la Harpe, n°117

Description matérielle

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in-18

Nombre de volumes
1
Prix ; franc de port
3 fr.
1 fr. pap. ordinaire avec une seule grav.
6 fr. pap. vélin premières épreuves
8 fr. grand raisin vélin premières épreuves

Contenu

Illustré
Non
Musique
Inconnu
Epigraphe
Inconnu
Comments
Il s'agit d'une pseudo-traduction. Nos recherches n'ont permis de localiser aucun exemplaire physique de cette édition.
Recensions

Voilà ce qu’il a écrit de sa main sur le manuscrit que l’éditeur a en sa possession. On ajoute que beaucoup de gens de lettres à qui il en avait fait la lecture, partageaient son opinion. Il est permis de douter que ce soit celle de l’opinion du public, et surtout qu’il préfère Nephtaly à la pastorae de Galatée […]. Nephtaly, néanmoins, sera lu avec beaucoup d’intérêt pour les sentimens et les images que l’auteur y a répandus: il était assez superflu, pour en assurer le succès que l’auteur employât la petite ruse si fréquemment répétée depuis le Temple de Gnide, de donner au public cet ouvrage, comme une traduction de l’hébreu.

Journal général de la littérature de France, VI, 6, p. 284 : "Nous plaçons dans la classe des romans cet ouvrage qualifié poëme, parce que nous pensons comme Voltaire et plusieurs autres écrivains célèbres que toute fiction, quelque poétique que soit la prose dans laquelle on l’a écrite, ne peut pas être considérée comme un poëme dès qu’elle est dépouillée des beautés du rithme et de la salutaire contrainte de la rime. S’il faut en croire Florian lui-même, ce prétendu poëme est le meilleur de ses ouvrages. "De tout ce que j’ai fait depuis que je travaille, c’est ce que j’estime et chéris le plus.
Décade philosophique, 20 fructidor an XI, p. 486-90 (Monglond)
Mercure de France, 3 floréal an XI, p. 229 et 8 prairial an XI, p. 449-61 (signés Michaud) (Monglond)