Informations générales
Titre complet
Charles Barimore
Date de publication
1810
Lieu de publication
Maison d'édition
Adresse éditeur
Renard, libraire de S.A.I., la princesse Pauline, princesse Borghèse, rues Caumartin, n°12 et de l’Université, n°5
Description matérielle
book.field_book__formats.label
in-8
Nombre de volumes
1
Pagination
VII-189 p.
Prix ; franc de port
4,5 fr.
5 fr. franc de port
Contenu
Illustré
Oui
Nombre d’illustrations
1
Illustrateur(s)
Graveur(s)
Technique d’illustration
Eau-forte
Musique
Inconnu
Epigraphe
Oui
Contenu épigraphe
De desseins en regrets et d'erreurs en desirs, Les mortels insensés promènent leur folie ; Dans les malheurs présents, dans l'espoir des plaisirs, Nous ne vivons jamais, nous attendons la vie.
Mots-clés, résumé, genre, etc.
Forme narrative (1ère personne, 3ème personne, épistolaire)
Notices associées
Autres éditions (sauf première édition)
Comments
Monglond cite un passage des Mémoires de St. de Girardin (1829) : 'J’ai lu ce matin [13 avril 1810] Charles Barimore… Toute la partie descriptive est particulièrement remarquable, et cela s'explique facilement lorsqu’on sait que M. de Forbin peint comme nos meilleurs artistes… [Les femmes] ont fait l’éloge de Charles Barimore, un peu pour avoir un prétexte de flatter l’auteur qui les flatte beaucoup. Sa figure est belle, sa tournure charmante… Je sais plus d’une belle dame dont il pourrait être… le chambellan, car il a la clef de plus d’un boudoir.' Il cite également un passage de la préface de 1823 : 'Ceux qui connaissent la vérité du fond de cette aventure me blâment de n’avoir pas insisté sur l’authenticité et l’exactitude des faits. Je me contenterai de répéter qu’ils sont assez récents pour qu’on puisse en rencontrer de nombreux témoins.' (Monglond, VIII, col. 1195)
Recensions
Cet ouvrage est d’un grand intérêt et il est d’autant plus attachant, que l’éditeur assure qu’il est d’une exactitude scrupuleuse ; que les noms seuls des personnages ont été changés, et que les faits sont si peu altérés que plusieurs personnes se rappelleront aisément l’homme dont on raconte l’infortune.
Le Publiciste, 21 avril 1810 (signé P.) (Monglond)
Moniteur Universel, 2 mai 1810 (signé L.) (Monglond)
Mercure de France, octobre 1810, p. 448-459 (signé Boufflers) (Monglond)