Journal typographique et bibliographique, 10, xi, p. 84 : "Des détails historiques sur la fameuse association des flibustiers, des esquis[s]es ressemblantes des moeurs, usages et végétation des colonies, des caractères bien tracés et bien soutenus. Dans celui de Monbars, des sentimens d’honneur, de générosité, de grandeur d’âme, font presque pardonner sa flibusterie, et préparent à son repentir

mais ce repentir est noble dans sa cause, grand dans ses effets, c’est la vertu qui s’égare aigrie par les malheurs et qui rentre bientôt en elle-même, ramenée par l’amour. Le caractère du capitaine est un composé attachant, d’une naïveté presque enfantine, avec l’honneur et la franche brusquerie d’un marin

enfin ce roman, dont le sujet est neuf, soutient et ranime l’attention du lecteur jusqu’à la dernière page."

Mercure de France, 2 mai 1807, p. 220 (Monglond)

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