Informations générales
Titre complet
Lothaire et Maller, roman de chevalerie, traduit de l’allemand de F. Schlegel
Date de publication
1807
Maison d'édition
J. J. Paschoud, libraire, rue Mazarine, n°22
Gautier et Bretin, à la librairie protestante, rue Saint-Thomas-du-Louvre, n°30
Adresse éditeur
Paschoud, libraire (Genève)
Gautier et Bretin, à la librairie protestante, rue Saint-Thomas-du-Louvre, n°30
Titre et date de publication du texte original
Langue du texte original
Description matérielle
book.field_book__formats.label
in-12
Nombre de volumes
1
Pagination
V-292 p.
Prix ; franc de port
2,25 fr.
2,75 fr. franc de port
Comments
Le roman a parfois été faussement attribué à Frédéric Schlegel. L’exemplaire de la BNF porte sur la page de titre une note manuscrite : 'de Frédéric Schlegel, par le fils de Mme de Staël'. L'original allemand, présenté comme une retraduction en allemand moderne d'un roman inédit écrit en vieux-français par Marguerite de Lorraine et traduit en vieil haut-allemand par sa fille, Elisabeth de Nassau-Saarbrück, a paru sous le nom de Friedrich Schlegel. Mais d'après Holzmann et Bohatta qui s'appuient sur Gödeke, 'Geschichte der deutschen Dichtung', il doit être attribué à sa femme, Dorothea Schlegel. Monglond et Bihl-Epting indiquent également tous deux que l'attribution à Frédéric Schlegel est erronnée.
Recensions
Journal typographique et bibliographique, 10, xxxix, p. 297 : "Ce livre de chevalerie a été écrit en langue romance par dame Marguerite, comtesse de Vandemont et duchesse de Lorraine
il fut traduit en allemand en 1405 par dame Elisabeth, comtesse de Nessau-Saarbrück, fille de dame Marguerite et du duc Frédéric de Lorraine. M. Frédéric Schlegel, célèbre littérateur, vient de faire paraître nouvellement cette histoire en allemand moderne, et c’est sur cette dernière version que la traduction que nous annonçons a été faite
le style naïf dans lequel elle est écrite, donne une idée parfaite de la simplicite des moeurs des héros du temps de Charlemagne
nous sommes assurés que cette manière d’écrire, si bien assortie au sujet, plaira généralement, et que le roman par lui-même amusera et intéressera vivement ses lecteurs."
Le Publiciste, 11 décembre 1807 (Monglond)