Informations générales
Traducteur(s)
Titre complet
Le Polonais, traduit de l’anglais de miss Porter, par ***
Date de publication
1807
Lieu de publication
Maison d'édition
Chaumerot libraire, Palais du Tribunat, première galerie de bois, n°188
Adresse éditeur
Chaumerot libraire, Palais du Tribunat, première galerie de bois, n°188
Egasse frères, rue Saint-Jacques, n°21
Parsons et Galignani, rue et cour des Filles Saint-Thomas
Delance imprimeur-libraire, rue des Mathurins, hôtel Cluny
Titre et date de publication du texte original
Langue du texte original
Description matérielle
book.field_book__formats.label
in-12
Nombre de volumes
3
Pagination
227 p.
258 p.
252 p.
Prix ; franc de port
5 fr.
6,6 fr. franc de port
Notices associées
Autres éditions (sauf première édition)
Comments
Quérard attribue la traduction du roman à Madeleine-Henriette de Fontenay, comtesse de Ruolz-Montchal et Barbier à Gabriel-Louis Terrasson, baron de Sénévas. Nos recherches n'ont pas permis de trancher. Selon Barbier, une note manuscrite de J.-P.-A. Parison dit : 'Je dois avouer que la moitié de la traduction m'a passé sous les yeux, et que j'y ai fait d'amples corrections qui ont du dénaturer la composition de miss Porter car je ne m'astreignais nullement à suivre l'original.'
Recensions
Journal typographique et bibliographique, 10, ii, p. 10-11 : "Le héros de ce roman, issu d’une des maisons les plus illustres de Pologne, figure avec honneur dans les grands événements de ce pays, en 1792. Défenseur ardent de la constitution, il combat glorieusement à la tête des patriotes polonais
et succombe avec sous le nombre des hordes vomies par le nord. Il est forcé de chercher un asyle en Angleterre. Sans parents, sans amis, sans fortune, il y est bientôt réduit aux plus dures extrémités, Mais toujours grand, toujours magnanime, après plusieurs aventures intéressantes, il triomphe enfin du malheur. On doit savoir gré à l’auteur anglais, d’avoir conservé à son héros le caractère de grandeur et de courage qui distingue la brave noblesse polonaise: il n’a pas mis moins de fidélité dans la peinture des moeurs intérieures de ses contemporains, où l’on trouvera des détails assez curieux, qui ne sont pas tous favorables à sa nation. L’édition anglaise a été publiée en 1803".