Victor de Martigues

Journal typographique et bibliographique 7, xlv, p. 355 : "Cet ouvrage écrit par une mère, et dédié à son fils, offre le plus grand intérêt. L’auteur a tâché de peindre tout-à-la-fois, et les passions en tous genres, et les crimes qui les suivent ordinairement. Il est à distinguer des autres romans, en ce qu’il est propre à former l’éducation, à inspirer l’horreur de tous les vices, et à préserver des liaisons trop précipitées, qui souvent causent la perte infaillible des jeunes gens. Les parens peuvent en prescrire la lecture à leurs garçons, et les instituteurs à leurs élèves

ils y puiseront la véritable source de la religion de nos pères, et des passages de Benoît XIV, Yound, Pascal, Bourdaloue etc., etc. , leur donneront le plus haute idée des vrais principes religieux qui doivent les guider dans toutes leurs actions."