Journal général de la littérature de France, V, 10, p. 305 : "On peut regarder la plupart des romans comme une sorte de guerre que la frivolité ou l’immoralité des littérateurs fait à la sagesse et à la vigilance des mères. Celui-ci semble tendre à opérer une réconciliation. Il est fait pour les mères

il leur sera utile

il les secondera dans cette fonction sacrée que leur donna la nature, et que traversent d’une manière si funeste la plupart des productions de cette espèce, dans les soins de l’éducation. On voit que le coeur d’une mère l’a inspiré

il est écrit en form de lettres, le style est simple, rapide et varié."

Mercure de France, 17 vendémiaire an XI, p. 128-129 (Monglond)

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