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Panorama du roman français, 1801-1830

Informations générales

Auteur(e)(s)
Anonyme
Titre complet
Demo pour commentaires
Date de publication
1801

Contenu

Illustré
Inconnu
Musique
Inconnu
Epigraphe
Inconnu
Comments

Quel pouvoir a brisé l'éternelle barrière Dont le ciel sépara l'enfer de la lumière ? D'où vient que les humains, malgré l'arrêt du sort, Reviennent à mes yeux du séjour de la mort ?

VOLTAIRE

Grand Dieu ! tes jugemens sont remplis d'équité. Toujours tu prends plaisir à nous être propice, Mais ils font tant de mal que jamais ta bonté Ne leur pardonnera qu'en blessant ta justice.

Sonnet de DESBARREAUX

Avertissement. En soumettant ce petit ouvrage au jugement du public, je crois devoir le prévenir qu’il est imité, en quelques endroits, d’un épisode contenu dans un roman anglais qui n’a point été traduit, et qui probablement ne le sera jamais. Antoine Marquand.

Cet original anglais a-t-il jamais existé ?
Cet original anglais a-t-il jamais existé ?

Avertissement. En soumettant ce petit ouvrage au jugement du public, je crois devoir le prévenir qu’il est imité, en quelques endroits, d’un épisode contenu dans un roman anglais qui n’a point été traduit, et qui probablement ne le sera jamais. Antoine Marquand.

Cet original anglais a-t-il jamais existé ?

On trouve dans ce roman le caractère atroce d’une Sicilienne, mais les principaux personnages échappés au poison et aux poignards des assassins, font succéder les tableaux les plus touchants à ces scènes d’horreur

Journal typographique et bibliographique, 4, xv, p. 118

L’auteur a voulu montrer que, si une chute entraîne toujours une autre chute, la malheur qui le suit précède toujours le châtiment qui ‘accable. Mais le roman, qui prouve d’ailleurs en faveur du talent de l’auteur, offre beaucoup d’invraisemblances, en accablant la vie entière d’une fille vertueuse, sous la calomnie et la perfidie atoce d’une belle-mère, et en présentant tous ses malheurs comme les effets inévitables de la malédiction paternelle. Il a tâché de rendre vraisemblable ce qui ne peut pas être vrai, et a nui par-là à l’intérêt de son ouvrage, qui mérite des éloges pour le style et les situations.

Journal général de la littérature de France, IV, 5, p. 185

Monsieur de Saint-Jules, ou le faux Capucin. Par M. Gensard, auteur du Jeune séminariste

. Selon Monglond, il s'agit des amours d’un jeune abbé d'abord avec une parente quadragénaire, puis avec la femme de chambre de cette parente, âgée de 17 ans. ,  Il est possible que l'auteur de ce texte soit M. Gensard, auteur de
Auteur identifié dans Alphonse Rabbe, Claude-Agustin Vieilh de Boisjolin et Charles-Augustin Sainte Beuve (dir.), Biographie universelle et portative des contemporains, Paris, chez F. G. Levrault, 1834, t. 1, p. 979-80.

critique de cet ouvrage tenant lieu de préface

. ,  Les aventures de Sapho, traduction de Chaussard, paraissent ici pour la première fois. Contient un avertissement et une