Le siège de la Rochelle, ou le malheur et la conscience

Le Journal typographique et bibliographique 12, xi p. 421-22 reproduit la préface qui indique les changements effectués pour cette édition : ‘La constante bienveillance du public pour mes ouvrages, et l’accueil si favorable qu’il a daigné faire à celui-ci, pouvoient m’autoriser à ne rien changer à cette troisième édition

mais quelques critiques ayant trouvé qu’il n’étoit pas digne du caractère du père Arsène de soupçonner que le plus horrible scélérat alloit commettre un nouveau crime, alors même qu’il s’agissoit de veiller à la sûreté de l’héroïne, objet de l’affection paternelle de ce religieux, j’ai supprimé cet incident. En outre j’ai ajouté cinquante pages à ce volume, parce qu’il m’a semblé que cette augmentation produisoit des scènes frappantes et jetoit un grand intérêt de curiosité sur la dernière partie de cet ouvrage. Du reste, je n’ai fait à ce roman ni retranchemens, ni corrections.’