Les tristes, ou mélanges tirés des tablettes d’un suicide

Journal typographique et bibliographique, 9, xxiv, p. 183 : "Monsieur Nodier a déjà fait paroître plusieurs ouvrages dans lesquels on remarque beaucoup de sensibilité, malheureusement nourrie par une imagination sans règles et sans bornes. Dans ce dernier ouvrage, il a porté cette exagération d’idées au dernier période, notamment dans le fragment intitulé : Des Méditations du cloître

mais il y a de si grandes beautés de style, qu’on est entraîné malgré soi, et qu’on applaudit à l’ouvrage en plaignant l’auteur dont l’esprit a été assez malade pour enfanter de pareilles conceptions."